Des nouvelles des éditions Luce Wilquin !
1- Quelle est la philosophie, l’ambition, la « raison de vivre » de votre maison d’édition ?
Réjouir l'âme, élever l'esprit… Procurer du bonheur au lecteur, et parfois le mener plus loin dans sa réflexion personnelle, sans jamais l'avilir ou le mépriser.
2- Pourquoi éditez-vous des nouvelles ?
Parce que le format court me semble répondre au rythme actuel du monde, mais surtout parce que c'est le genre littéraire le plus difficile, qui exige un réel talent d'écriture.
3- Comment avez-vous fait le choix de publier le livre de Bérengère Deprez (et d'Emmanuelle Favier) ?
Pour Bérengère Deprez, cela allait a priori de soi (enfin… à condition que ses nouvelles soient de bonne facture), puisque j'ai publié ses trois romans (Le livre des deuils en 2004, Kilomètre 7 en 2006 et Le sablier du jour en 2009); je la considère donc comme un auteur «maison». Emmanuelle Favier, je l'ai découverte en 2011 à travers sa première nouvelle publiée par la revue Brèves, et son talent m'a immédiatement sauté aux yeux; nous avons sympathisé, j'ai suivi l'élaboration du recueil… et décidé sans hésiter de la publier.
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